Hier, aujourd'hui et demain, suivez les aventures trépidantes du
traiteur itinérant !
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Coupure Déjeuner a eu cet été le plaisir de suivre le tournage
d'Happy Few et de servir
son équipe !
Révélé en 2005 à la Quinzaine des Réalisateurs cannoise avec le film
"Douches froides", que Coupure Déjeuner avait aussi accompagné, Antony
Cordier vient de mettre fin au tournage à Paris de son second long
métrage : Happy Few.
Ecrit par le cinéaste et Julie Peyrs, le film explore les ressorts
d'une histoire d'amour adulte : deux couples se rencontrent, s'aiment,
se perdent dans la confusion et finissent par en sortir. Un récit à
travers lequel Antony Cordier tente de cerner "sur la fragilité des
sentiments et du désir amoureux".
Le film bénéficiait d'un budget de 3,8 M€, incluant notamment une
avance sur recettes du CNC et 384 000 euros de soutien de la région
Ile-de-France.
La distribution dans les salles françaises sera assurée par Le Pacte
alors que les ventes internationales seront pilotées par Wild Bunch.
Ici, l'article en images sur l'Agence Presse du catering
Pierre-François Martin Laval, Pef pour le cinéma, Florence
Foresti, Pierre Richard, Isabelle Nanty, Omar Sy, Raymond Bouchard, ont
investi pendant deux jours le majestueux château de Kerouartz, à
Lannilis, devenu pour l'occasion un hospice où le roi se meurt.
Le sujet du film de PEF, "King Guillaume", a été inspiré de la bande
dessinée de Pétillon de Rochette "Panique à Londres".
Cette partie du film, tournée au château qui servit de décor au
feuilleton de TF1 "Dolmen", a mobilisé quelque soixantaine personnes et
une dizaine de figurants.
Antoine de Clermont-Tonnerre est le producteur de ce film, coproduit
par France 3, avec le soutien de la commission du film de Bretagne et
de la mairie de Brest.
Le film devrait sortir en mars prochain.
Jérome l'Hotsky situe l'action de "Fool Moon" son premier long-métrage (sur une idée originale d'Arthus de Penguern, également interprète du film), quelque part en Bretagne, dans une demeure isolée [...]. Le tournage a commencé au moi de mai à Paris, pour toutes les scènes d'intérieur. Changement de décor avec les extérieurs qui sont tous réalisés à saint-Jean-du-Doigt.
"La bouffe sur un tournage, ça soude une équipe. Le cuisinier
Christophe Thomas s'y emploie".
[...] Sur le quai du petit port, à quelques cris de mouette de Morlaix,
les badauds se pressent, étonnés de voir toute cette agitation. Le
cinéma et son barnum a investi les lieux [...].
Cathy Cindecky, l'accessoiriste, file vers le camion-cuisine de
Christophe Thomas, qui tous les jours mitonne des petits plats pour
tout le monde. "T'aurais pas un poisson? J'en ai besoin pour une
scène". "Ouais, mais il est vidé et ouvert". Elle ne se démonte pas.
"C'est pas grave je vais le recoudre, à l'écran on ne verra rien..." La
magie du cinéma en somme...